11 novembre 2015
Emgleo Breiz : nouveaux messages
- J'ai appris par la presse la liquidation d'Emgleo breiz, et j'ai eu de la peine. J'ai de la peine, car je n'ai qu'à me féliciter de notre collaboration. J'ai de la peine car c'est une des fleurs de la culture bretonne qui se fane. J'ai de la peine pour vos collaborateurs qui ont perdu leur emploi. Je suis de tout cœur à vos côtés en ces heures difficiles. M.Q.
- Oui j'ai appris pour Emgleo Breiz, c'est une bien triste nouvelle. M. C.
- J’ai appris la liquidation de votre maison d’édition dans Ouest France jeudi dernier. Après Palantines, mais dans un autre genre certes, ce n’est pas bon signe. J’espère que vos trois permanents pourront retrouver du travail dans le domaine de l’édition ou du breton. Mais qui publie encore actuellement en breton, « marché de niche » comme vous dites ? B.I.
- J'ai appris par vox populi que l'association que tu présides Emglo Breiz était en liquidation. J'en suis désolé pour toi et tous les tenants de l'association. Je regrette, si c'est la cas, d'être le dernier livre édité par vous. H.G.
- Bien triste pour ce qui arrive à Emgleo Breiz. Toute mon amitié et mon humble soutien à toute l'équipe et à toi qui a tant donné dans cette aventure ! D.R.
- Décidément les temps se font durs. Je vous remercie de nous avoir fait part de cette information que nous transmettrons à nos lecteurs. C.B.
- Je viens d'apprendre la bien triste nouvelle pour Emgleo Breiz. C'est un vrai crève-coeur. Bravo à vous et à votre équipe pour tout le travail accompli ces dernières années, et les très belles publications. Parmi les dernières, je pense à "Clet, langoustier de Plogoff", qui est à mes yeux un petit bijou. P.-Y.K.
- Je viens de lire ton message et j'en suis consterné. Juste un mot. C'est une perte énorme pour la culture bretonne et cela doit être très douloureux pour toi. Si tu veux, transmets mes meilleures pensées aux employées. Si l'on peut faire quelque chose n'hésite pas à le dire. Je pense que cela est une perte pour la France aussi. G.K.
- Cette situation est très pénible. Même pour un Occitan qui, pour sa part, connait Emgleo Breiz depuis 1972 et a correspondu avec certains de ses acteurs (le nom d'Armand Keravel évoque bien des souvenirs à certains vieux occitanistes de la vieille...). Je suis attristé par cette nouvelle. F.P.
- O paouez klevet ar c'helou fall emaon. Gwelet am eus Fanch er saloñs met n'hon eus ket komzet kalz. Dipitet on o welet e ya un ti embann all da get... hag ho implijoù da heul. O.P.
- Klevet em eus ar c'heloù fall ha dic'hortoz. Trist eo. Ne c'helloc'h ket sevel ar stal en-dro ? G.K.
- Ema ar wirionez ganit. N'eus ket tud a-walh evid ober, heb beza paeet, war-dro an embann e brezoneg : n'eus ket a-walh a dud a lennfe brezoneg ! A.M.
- Kared 'm-ije beza aze evid kimiadi an dud, dreist-oll an teir maouez o-deus renevezet dremm Brud Nevez, kaset da benn na ped ha ped skrid ha leor, digemeret an dud en eun doare ken hegarad. C.D.
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